L'humidité du bois peut également affecter la qualité de sa combustion. Il propose trois diplômes :
Bois sec (H1) : L'humidité est inférieure à 20 % et le pouvoir calorifique est élevé.
Bois semi-sec (H2) : Humidité entre 20% et 35%, chaleur moyenne.
Aoki (H3) : humidité supérieure à 35 %, faible pouvoir calorifique.
Au-dessus de 20 % d'humidité, le bois produit plus d'émissions polluantes lors de la combustion, sa puissance calorifique diminue et il met deux fois plus de temps à atteindre la température souhaitée que le bois sec.
Par conséquent, le bois sec est privilégié : les feux sont plus faciles à démarrer, la fumée n'obstrue pas les tuyaux d'évacuation et il est plus économe en énergie.
Comment identifier le bois sec ?
Le bois sec a été séché au moins 2 ans et jusqu'à 3 ans (bois sec à très sec).
Si l'affichage dans le magasin n'est pas clair, vous pouvez apporter un hygromètre, qui vous indiquera exactement le niveau d'humidité de la bûche. Vous pourrez également découvrir quelques indices pour différencier le bois sec du bois non sec :
Du bois lourd, la présence de mousse ou de champignons, une écorce qui ne se détache pas facilement indiquent que le bois est trop humide.
En revanche, le bois très sec est plus léger, fissuré et ne présente aucune trace de moisissure ou de champignon. Si deux bûches sont frappées l'une contre l'autre, elles émettront également un claquement.
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